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raul aguiar

Raùl Aguiar

romancier cubain, rock et fiction

Raùl offre en exclusivité 3 de ses dernières nouvelles aux amis de íHOLA CUBA!
figures (en français), Jules (en espagnol), Arthur (en espagnol)

Nous avons rencontré Raùl lors de son passage à la Maison des Ecrivains Etrangers et Traducteurs (MEET) de Saint Nazaire où il a été accueilli du 1er juin au 13 juillet 2007. La MEET s'est chargée de la traduction en français de son ouvrage "MATA".

Nous vous présentons ici en quelques lignes cet écrivain original

Raúl Aguiar est né à la Havane en 1962. Il enseigne actuellement les techniques de narration au Centre de formation littéraire pour les jeunes écrivains “Onelio Jorge Cardoso” à la Havane. Il est membre de l'Union des Ecrivains et Artistes Cubains et de l'Association Hermanos Saíz.


Prix:

Prix ibéro-américain "Julio Cortazar" (2003)
Prix "Abril" (1994) Prix "Pinos Nuevos" (1994)
Prix "Luis Rogelio Nogueras" (1993)
Prix de conte au concours "David" (1989)
Mention honorable en SF au concours "David" (1984)...

mata

Ouvrages publiés

"Figuras", Letras Cubanas, 2004.
"La estrella bocarriba", Letras Cubanas, 2001.
"Daleth", Ediciones Extramuros, 1996
"La hora fantasma de cada cual" , Ediciones Unión, 1995;
"Mata", Letras Cubanas, 1995;
"Realidad Virtual y Cultura Ciberpunk", Editorial Abril, 1995

"Mata" a été traduit en français (version bilingue) par la MEET de Saint Nazaire.
Le mot "mata" qui veut dire à la fois "tue" et "jungle" raconte une guerre dans une jungle qui évoque l'Angola.
Actuellement Raùl écrit un roman de fiction historique sur une cubaine arrivant à Paris pendant la Commune.

Raùl compte parmi ses références le grand écrivain argentin (quallifié de Che Guevara de la littérature) Julio Cortazar.

"Figuras" sert de point de départ pour retracer l’histoire de cet "écrivain argentin qui incarna (avec Gabriel García Márquez, Mario Vargas Llosa et Carlos Fuentes) le renouveau du roman latino-américain et l’esprit rebelle des années 1960 et 1970. Très cortazien, Aguiar relate la rencontre fantastique à La Havane d’une jeune fille et de Cortázar. Elle vit en 2003. Lui, en janvier 1967. La finesse réside dans la mélancolie que le récit instille au lecteur ; celui-ci connaît d’avance les pénibles réponses qui attendent Cortázar lorsqu’il interroge la jeune fille sur l’avenir : « J’ai mille questions. L’homme est-il allé sur Mars ? Et la guerre du Vietnam ? Que s’est-il passé à Cuba durant tout ce temps ? Fidel est-il encore en vie ? Et le Che ? Et le socialisme, a-t-il fini par triompher ? Sais-tu quelque chose sur l’Argentine ? » Tout un catalogue de frustrations."

Article du monde diplomatique complet à : http://www.monde-diplomatique.fr/2004/02/FAJARDO/11030